Nota Bene

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Bien que j’ai refondu les trois articles évoqués plus bas, ce site est toujours en stand-by. J’utilise le temps que j’ai actuellement à la rédaction des huit derniers articles de mon opuscule. je travaille dessus de façon globale et ça risque d’être assez long. Cela se fait au détriment des interview et des contributions, en tout cas pour l’instant.


Message original: pour l’instant Ce blog est à l’arrêt depuis maintenant plus de six mois. C’est exceptionnel, mais malgré tout j’ai du mal à imaginer l’accablement dans lequel vous êtes certainement plongé. Il y a bien sûr des raisons, en tout cas il existe une raison que je n’exposerai pas ici, à cette situation atroce.
Quoi qu’il en soit et avant de me soucier de nouveauté, je suis aux prises pour l’instant avec la reprise ou plutôt la refonte de trois articles récents. A commencer par le dernier en date, La singularité.
C’est toujours quand on est parfaitement sûr de soi que le ciel vous tombe sur la tête. Ainsi, et contrairement à ce que j’avançais au début d’un l’article intitulé La modulation, il m’est toujours impossible d’entrer un article abouti avant de l’avoir repris environ trois cent fois.
Salut et fraternité

Le label contemporain… Fait
La modulation… Fait
La singularité… Fait

Une réflexion au sujet de « Nota Bene »

  1. Laurent

    «la pittura è mentale», écrivait Léonard de Vinci. N’avons nous pas suffisament entendu de cette musique là? État d’esprit enthousiasme mais calme et activité intense mais bien ordonnée. Ceux qui ne savent suivre que les chemins battus sous-estiment toujours l’enthousiasme des gens pour la peinture. Quand une chose nouvelle apparaît, les conservateurs ne l’approuvent jamais d’emblée, ils s’y opposent, puis ils reconnaissent leur tord et font quelques autocritiques. Les curateurs, les directeurs de galeries sont toujours dans un état de passivité. Ils n’avancent jamais dans les états décisifs. Ils ont toujours besoin que l’artiste leur donne une tape dans le dos pour qu’ils fassent un pas en avant. L’autoritarisme des mécènes, des grandes galeries, des clients est une erreur, car il dépasse le niveau de conscience des peintres et viole le principe de la libre adhésion, le suivisme est également une erreur. Sachons bien qu’aucune solution, aucune bonne idée ne peut sortir de notre seul enthousiame et d’une vie bien ordonnée, d’un travail soignée ou d’une réunion de clerc décernant des diplômes et des prix. Merci de vous pencher sur notre activité productrices, nos intérêts, notre expériences et merci pour votte attentiotn constante a la peinture.

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