Dans un premier temps, la longue dissertation de DJLD — intitulée La peinture qui rit de se voir si belle en son miroir, puis L’idéal de la peinture et enfin Et si on parlait VRAIMENT de peinture — s’arrêtait aux années 1970. C’est-à-dire au moment où la peinture pour la peinture, la peinture pure, intrinsèque, tombe en disgrâce. Continuer la lecture
Le label contemporain
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